Le 12 décembre 2023, la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) – ONG internationale basée à Paris – a publié une résolution intitulée « Résolution sur le génocide en cours et les autres crimes commis par Israël à Gaza et contre le peuple palestinien ». Cette résolution rédigée et adoptée lors d’une réunion du bureau international de la FIDH en novembre 2023, fait de la FIDH une des premières ONG internationales à avoir porté l’accusation de génocide contre Israël.

La résolution contient plusieurs fausses accusations liées à la guerre actuelle (« l’utilisation par Israël de la famine comme arme de guerre » et les « déplacements forcés »), ainsi que des thèmes récurrents de délégitimation d’Israël (« apartheid », « régime institutionnalisé de domination et d’oppression systématiques du peuple palestinien depuis plus de 75 ans »), pour conclure de manière fallacieuse qu’ « Israël mène un génocide contre le peuple palestinien ».

Cette résolution s’inscrit dans une campagne d’inversion des atrocités, visant à présenter Israël comme le pire violateur des droits de l’homme au monde. En effet, depuis le début de la guerre, de nombreuses ONG accusent l’État juif de génocide afin de détourner l’attention des atrocités commises par le Hamas et autres organisations terroristes palestiniennes le 7 octobre 2023.

Les ONG palestiniennes membres de la FIDH, Al-Haq (également membre du bureau international de la FIDH), le Palestinian Center for Human Rights (PCHR) et Al Mezan ont clairement influencé la résolution. Les trois ONG, toutes liées au groupe terroriste FPLP, ont promu l’infox du « génocide » dès les premiers jours de la guerre. Par exemple, le 11 octobre, Al-Haq a tweeté : « Pour le cinquième jour, les forces d’occupation continuent de lancer leurs attaques sur la bande de Gaza… d’une manière qui équivaut à des actes de génocide » (traduit de l’arabe). Le 15 octobre, Al-Haq, Al Mezan et le PCHR ont publié une déclaration commune sur Twitter/X affirmant que « les Palestiniens sont confrontés à un génocide imminent ». De même, dès le 9 octobre, Al-Haq, PCHR et Al Mezan accusaient Israël de famine comme arme de guerre.

La campagne de ces trois ONG s’est étendue au procès de l’Afrique du Sud contre Israël devant la Cour internationale de Justice (CIJ). En effet, les directeurs des trois ONG – Shawan Jabarin (Al-Haq), Raji Sourani (PCHR) et Issam Younis (Al-Mezan) – ont servi de conseillers à la délégation sud-africaine à la CIJ.

Parallèlement, la FIDH, Al-Haq, Al Mezan et le PCHR, ont saisi la Cour pénale internationale en novembre 2023 pour exiger la délivrance de mandats d’arrêt pour crimes de guerre et crimes de génocide.

« Ce cycle de violence est le résultat prévisible de l’occupation illégale et du régime d’apartheid » (FIDH, 11 octobre 2023)

Le 11 octobre 2023, la FIDH a publié le communiqué (le premier depuis les massacres du 7 octobre) intitulé « la FIDH condamne l’escalade de violence et les doubles standards ». Dans ce communiqué, la FIDH y affirme que:

« Ce cycle de violence est le résultat prévisible de l’occupation illégale et du régime d’apartheid imposé par Israël et qui dure depuis trop longtemps, malgré les appels et les avertissements lancés par les organisations de défense des droits humains et les mécanismes des Nations unies. Dans une période marquée par des tensions extrêmes, la radicalisation des discours et un soutien inconditionnel à Israël, il est important d’appeler à la désescalade et à un cessez-le-feu immédiat pour protéger les populations civiles, qui sont les principales victimes de ce conflit.

La FIDH rappelle que tant que la communauté internationale refuse de mettre en œuvre des mesures qui remédient aux causes profondes de ce conflit, aucune paix juste et durable ne sera possible. Le blocus et le siège de Gaza durent depuis 16 ans, enfermant deux millions de Palestinien·nes dans une prison à ciel ouvert déclarée «  invivable » par les Nations unies. Le blocus de Gaza n’est pas une question isolée, Israël a mis en place et maintient un système d’apartheid à travers ses lois, ses politiques et ses pratiques, tout en continuant un déni perpétuel des droits inaliénables du peuple palestinien, y compris le droit à l’autodétermination et le droit au retour ». (Mention en gras d’origine).

Fonds publics à la FIDH

Selon son rapport annuel de 2022 (dernier en date publié), la FIDH a reçu des millions d’euros de subventions publiques, y compris 6.17 millions d’euros de l’Agence Française de Développement (AFD) et 6.01 millions d’euros de la Commission européenne. 

Au mois de février 2024, l’AFD a autorisé une subvention pluriannuelle de 8.3 millions d’euros au profit de la FIDH. Selon le descriptif du projet, Al-Haq sera récipiendaire (aux côtés de 21 autres ONG partenaires de la FIDH) d’une partie (montant inconnu) de ces subventions publiques.

Apologie de la violence: L’Allemagne et la Suisse mettent un terme à leurs financements à Al-haq et PCHR

Le 22 novembre 2023, l’organe public de presse Deutsche Welle (DW) a rapporté que le gouvernement allemand ne subventionnera plus l’ONG palestinienne Al-Haq. Selon un porte-parole du Ministère fédéral de la Coopération économique, « les organisations qui soutiennent la résistance armée contre Israël ne sont pas des partenaires appropriés ».

Le 21 novembre 2023, le Département fédéral Suisse des affaires étrangères (DFAE) a annoncé « la cessation de la collaboration » avec trois ONG palestiniennes (dont le PCHR), accusées du non-respect du code de conduite et de la clause contractuelle anti-discrimination du DFAE. Selon le chef de la communication du DFAE, Nicolas Bideau, ce sont des déclarations faisant l’apologie de la violence qui ont conduit le DFAE à rompre cette collaboration, ajoutant que « l’argent du contribuable ne peut pas soutenir de telles organisations ».

A la suite du massacre du 7 octobre, NGO Monitor a compilé les déclarations d’ONG et de leurs dirigeants et/ou employés. Certaines de ces déclarations justifient, célèbrent ou contextualisent l’invasion l’attaque terroriste du Hamas (voir rapport de NGO Monitor “EU-Supported Palestinian NGOs and the October 7th Hamas Massacre”). Par exemple: 

  • Le 10 octobre, Ziad Hmaidan, chef de l’unité de formation et de renforcement des capacités d’Al-Haq, a écrit sur Facebook : « Il est écrit dans le hadith :  “Vous devez mener le jihad. Le meilleur jihad est de préparer la guerre, et il est préférable de se préparer à la guerre à Ashkelon” ».
  • Le 7 octobre 2023, Feda’a Murjan, responsable de la collecte de fonds du PCHR, a publié sur Facebook : « Nous entrerons véritablement sur notre territoire. Allah, tu es notre protecteur et notre soutien ». 

Au mois de mai 2023 déjà, le PCHR avait publié une déclaration dans laquelle l’ONG: « affirme que le peuple palestinien doit résister à l’occupation par tous les moyens disponibles, y compris la lutte armée… » (voir point numéro cinq du communiqué). Après les critiques et sous la pression des bailleurs de fonds – dont l’UE – ce texte a été amendé.

Au mois de mars 2024, Al-Haq a publié un rapport dans lequel l’ONG déclare: « Même si des actes de lutte individuels violent les dispositions du droit humanitaire international, la puissance coloniale israélienne ou la communauté internationale ne devraient jamais qualifier de “terrorisme” la résistance collective du peuple palestinien dans la poursuite de son droit inaliénable à l’autodétermination et justifier sa politique de répression en conséquence ».

Au mois de juillet 2023, NGO Monitor publiait un rapport sur la justification de la violence et la glorification de terroristes par certains employés d’Al-Haq.

Al-Haq, une ONG antisioniste liée au FPLP membre du bureau international de la FIDH

Al-Haq, une ONG désignée comme organisation terroriste par Israël

  • Le 22 octobre 2021, le Ministère israélien de la Défense a désigné Al-Haq ainsi que cinq ONG palestiniennes additionnelles sur la liste des organisations terroristes du Bureau national israélien de lutte contre le financement du terrorisme. Ces ONG sont accusées d’être partie intégrante du Front Populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP).
  • Selon le communiqué du ministère de la Défense israélien : « D’un point de vue financier, ces organisations, contrôlées par le Front populaire, servent de source centrale pour le financement de l’activité de l’organisation [terroriste] et participent de manière significative à la construction de la force du FPLP… En outre, les organisations désignées bénéficient d’aides d’Etats européens et d’organisations internationales obtenues de manière frauduleuse. Cet argent a permis au FPLP de financer les familles des prisonniers et des auteurs d’attentats, de payer des salaires à ses membres, de renforcer ses activités et de diffuser son idéologie ».

Al-Haq est une organisation membre de la FIDH et de son bureau international

Shawan Jabarin, Directeur général d’Al-Haq & ancien secrétaire général de la FIDH, et le FPLP

  • Shawan Jabarin, le directeur général d’Al-Haq, a été condamné en 1985 pour avoir recruté et arrangé des entraînements pour des membres du FPLP.
  • En 2007, la cour suprême israélienne rejeta l’appel de Jabarin de se rendre à l’étranger affirmant que ce dernier est un « activiste du FPLP de haut rang» qui « opère apparemment à la manière de Dr Jekyll et de M. Hyde. D’un côté, il se présente comme le directeur d’une organisation de défense des droits humains, et de l’autre, il est actif dans une organisation terroriste qui commet des meurtres ».
  • En 2008, la Cour suprême israélienne notait que Jabarin faisait « partie des militants de haut rang de l’organisation terroriste du Front populaire ».
  • En 2009, les autorités israéliennes ont de nouveau interdit à Jabarin de voyager à l’étranger. Jabarin a fait appel devant la Cour suprême israélienne, qui a rejeté son appel, déclarant : « Nous avons constaté que les éléments indiquant l’implication du pétitionnaire dans les activités d’entités terroristes sont des éléments concrets et fiables ».
  • En 2019, Shawan Jabarin a été identifié à au moins deux reprises alors qu’il participait à des évènements organisés par le FPLP rendant hommage à des dirigeants de l’organisation terroriste, y compris Maher Yamani qui avait « coordonné les opérations spéciales…en particulier l’opération contre un avion de la compagnie israélienne El Al en juillet 1968 en Grèce ».

Shawan Jabarin à la cérémonie rendant hommage au dirigeant du FPLP Rabah Muhanna (Mai 2019) dans une salle de réception décorée avec des drapeaux de l’organisation terroriste.

  • En 2011, Shawan Jabarin était le représentant de FPLP au meeting des factions palestiniennes au Caire.
    • Selon le journal Al-Wafd (langue arabe), Jabarin, un « représentant du FPLP au sein du comité », a annoncé sa démission après avoir été identifié par son affiliation au FPLP. Selon Al-Wafd, Jabarin s’est plaint du fait que « la classification des membres du comité selon leurs partis ne profite pas à son travail, mais le complique et intensifie ses problèmes. C’est [s’abstenir de classer l’affiliation à un parti] ce que j’ai demandé au comité en tant que membre.

Shawan Jabarin, Directeur général d’Al-Haq et vice-président de la FIDH

  • Le 27 octobre 2023, La FIDH a publié un tweet présentant Shawan Jabarin de « secrétaire général de la FIDH ».
  • Selon le site de la FIDH, Shawan Jabarin fut Secrétaire général de la FIDH de 2019 à 2022 et de 2016 à 2019 et vice-président de la FIDH de 2013 à 2016.
  • Malgré le tweet du 27 octobre 2023, la FIDH ne liste plus Jabarin comme secrétaire général pour la période 2022-2025. Diana ALZEER d’Al-Haq est vice-présidente de la FIDH.

Shawan Jabarin, la CNCDH et la CPI

  • En 2018, la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme (CNCDH) a décerné à Al-Haq « le Prix des droits de l’homme de la République française ‘Liberté, égalité, fraternité’ ». Sous la pression de NGO Monitor et d’organisations juives en France, la ministre de la justice Nicole Belloubet avait renoncé à présider la cérémonie de remise de la récompense. En tant que Directeur Général d’Al-Haq, c’est Shawan Jabarin qui a récupéré le prix.
  • Dans une interview d’octobre 2015, Shawan Jabarin a déclaré: « [Lors de ma visite en France, le 25 septembre dernier] J’ai parlé au représentant de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), je lui ai dit la même chose que j’ai dite à un conseiller du président et à des personnes du ministère des Affaires étrangères : en France, vous avez la circulaire « Alliot-Marie » du 12 février 2010 qui criminalise les personnes appelant au boycott. C’est illégal. Cette circulaire est illégale car elle viole la liberté d’expression des individus qui n’incitent pas à la haine contre les juifs, contre un groupe ethnique, mais qui sont contre les crimes internationaux ! Et les Etats doivent prendre leurs responsabilités et agir. Je pense que vous, en tant que société civile, devez contester cette circulaire devant le Conseil constitutionnel ; de mon point de vue juridique, elle est illégale et viole la liberté d’expression de la société civile et des individus ». (Mentions en gras ajoutée).
  • Shawan Jabarin a rencontré à plusieurs reprises l’ancienne procureur de la Cour pénale internationale, Madame Fatou Bensouda.
  • Dans le cadre des 100 ans de la FIDH au mois d’octobre 2022, Jabarin était au côté du Président Macron

Al-Haq, une ONG antisioniste accusant Israël d’Etat d’apartheid et appelant à son démantèlement

Voir les dossiers de NGO Monitor sur ces sujets:

Fonds publics français à Al-Haq

Alors qu’Israël a sanctionné Al-Haq en 2021 pour ses liens avec le FPLP et que l’Allemagne a mis fin à ses subventions à l’ONG (novembre 2023) en raison de son soutien à la violence, la France continue de la soutenir financièrement dans un projet ayant pour but de protéger les ONG faisant face à un « rétrécissement de l’espace de la société civile » et d’amplifier leurs voix « auprès d’institutions inter-gouvernementales, diplomatiques et économiques ».

Au mois de février 2024, l’AFD a autorisé une subvention pluriannuelle de 8.3 millions d’euros au profit de la FIDH. Selon le descriptif du projet, Al-Haq sera récipiendaire (aux côtés de 21 autres ONG partenaires de la FIDH) d’une partie (montant inconnu) de ces subventions publiques.

Parmi les résultats attendus de ce projet de 4 ans:

  • « Les OSC [Organisations de la Société Civile] locales de défense des DH [Droits Humains] ont accès à un soutien réactif face au rétrécissement de l’espace de la SC [Société Civile] ».
  • « La voix des DDH [Défenseurs des Droits Humains] et des OSC locales de défense des droits humains est amplifiée auprès d’institutions inter-gouvernementales, diplomatiques et économiques et la visibilité des combats de la FIDH en matière de DH est renforcée ».

Palestinian Center for Human Rights (PCHR), une ONG liée au FPLP membre de la FIDH

Le PCHR entretient de nombreux liens avec le FPLP, et son directeur général, Raji Sourani, a été publiquement honoré par l’organisation terroriste en 2014 après avoir été récompensé du « Prix Nobel alternatif ». Jaber Wishah, membre du conseil d’administration du PCHR, est un ancien commandant des opérations du FPLP à Gaza. Pour plus d’informations, voir rapport de NGO Monitor « Palestinian Centre for Human Right’s Links to the PFLP Terror Group » 

Au mois de juillet 2021, Raji Sourani a été décoré par la France de la médaille de l’Ordre national du mérite. Dans une lettre adressée par le Consul général de France à Jérusalem à Raji Sourani, le diplomate français reconnaissait la contribution de Sourani et son ONG à « l’adhésion de la Palestine au Statut de Rome de la Cour pénale internationale ».

Tout comme Al-Haq et Al Mezan, le PCHR est actif depuis de nombreuses années dans la campagne de lawfare contre Israël, notamment auprès de la CPI.

Fonds publics français et de la Commission européenne au PCHR

Selon le Système de Transparence Financière de la Commission européenne, en 2023-2024, le PCHR est récipiendaire d’une subvention de 475 000 euros.

Al Mezan, une ONG membre de la FIDH organise régulièrement des panels avec pour intervenants des membres d’organisations terroristes palestiniennes

Al Mezan est une ONG ayant à plusieurs reprises organisé ou participé dans des panels sur le sujet du lawfare avec pour intervenants des membres d’organisations terroristes palestiniennes telles que le Hamas, le FPLP et le Jihad Islamique.

Issam Younis, directeur d’Al Mezan (droite) intervenant à une conférence sur la réconciliation inter-palestinienne (2017) au côté de Yahya Sinwa, numéro un du Hamas

Plusieurs officiels et membres du personnel d’Al Mezan ont des liens avec des organisations terroristes  palestiniennes.

 

Dans une interview datant du mois de mai 2024, Issam Younis, directeur d’Al Mezan a déclaré: 

  • « Je suis d’avis que même si cette décision de demander des mandats d’arrêt contre Sinwar, Deif et Haniyeh est inacceptable pour certains Palestiniens, c’est une opportunité pour tout accusé de se présenter devant le tribunal, de défendre son récit, de replacer les choses dans leur contexte et de présenter des preuves. En fin de compte, même si des mandats d’arrêt sont émis, les personnes inculpées restent innocentes jusqu’à preuve du contraire ».
  • « Je suis contre l’idée selon laquelle le problème des Palestiniens réside dans le fait qu’ils n’ont pas d’État. En fait, le peuple palestinien revendique le droit à l’autodétermination afin que nous puissions décider de notre sort. Peut-être que nous ne voulons pas d’État ? »

Tout comme Al-Haq et le PCHR, Al Mezan est actif depuis de nombreuses années dans la campagne de lawfare contre Israël, notamment auprès de la CPI.

Fonds publics de la Commission européenne à Al Mezan

Selon le Système de Transparence Financière de la Commission européenne, en 2022-2023, Al Meza a été récipiendaire d’une subvention de 375 000 euros.

En 2022, le Consulat Général de France à Jérusalem a accordé une subvention de 34 074 euros à Al Mezan.

Exemples d’activités anti-israéliennes additionnelles de la FIDH

En 2016, la FIDH a publié le communiqué « Déclaration de la FIDH sur le droit de participer et à appeler au Boycott – Désinvestissement – Sanctions ».

En 2021, la FIDH (aux côtés d’autres ONG) a envoyé un courrier à la Commission européenne exprimant son inquiétude quant au « soutien sans réserve » par la Commission de la définition controversée de l’antisémitisme de l’IHRA, critique le « Manuel pour l’utilisation pratique » de cette définition et déplore le manque de transparence et d’inclusivité qui caractérise depuis longtemps l’approche de la Commission en matière de lutter contre l’antisémitisme.

La FIDH a à plusieurs reprises soutenu Salah Hamouri (condamné pour ses activités au sein du FPLP) qu’elle considère comme un « défenseur des droits humains ».