Cliquer pour lire l’article complet

[Extraits]

À la suite de la conférence internationale pour la paix au Proche-Orient qui a eu lieu le 15 janvier 2017 à Paris à l’initiative de la France, NGO Monitor souhaite mettre en lumière plusieurs sujets concernant le soutien financier du gouvernement français à certaines organisations non gouvernementales (ONG) soutenant les campagnes BDS (boycott, désinvestissement, et sanctions) contre l’Etat d’Israël et/ou ayant des liens présumés à des groupes terroristes. Ce soutien jette le doute sur l’aptitude de la France à servir d’acteur impartial dans le processus de paix entre israéliens et palestiniens.

Le gouvernement français finance de nombreuses organisations françaises, israéliennes, et palestiniennes soutenant et faisant la promotion des campagnes BDS contre Israël et ce, en violation de la loi française.

Ainsi, des organisations françaises financées par la France, telles que La Plateforme des ONG françaises pour Palestine (La Plateforme), La Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH), et le syndicat français la CGT soutiennent la campagne « Made in Illegality, » qui prône le boycott économique des implantations israéliennes des territoires disputés (campagne allant au-delà de la directive française de novembre 2016 concernant l’étiquetage des produits israéliens produis dans ces territoires).