Fédération internationale pour les droits humains (FIDH)

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PaysFrance
Site webhttps://www.fidh.org/
Année de fondation 1922

Financements

Activités

  • L’organisation siégeant à Paris est composée de 192 organisations membres à travers le monde. La FIDH facilite la coordination entre ses membres, soutient leurs activités et les mobilise pour différentes campagnes.
  • La FIDH met en avant 3 piliers de son action: « la défense de la liberté d’action des défenseurs des droits humains, la défense de l’universalité des droits et la lutte pour l’effectivité des droits ».
  • La FIDH est active dans le « lawfare » (harcèlement judiciaire), soutient les campagnes discriminatoires BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) et abuse de sa réputation d’organisation des droits de l’homme pour condamner Israël dans les différents forum internationaux.
  • La FIDH accuse Israël de « punition collective », de « crime de guerre » et de « crimes contre l’humanité ».
  • Au mois d’août 2016, Shawan Jabarin (directeur général de l’ONG palestienne Al-Haq) a été élu secrétaire général de la FIDH.
    • Shawan Jabarin fut condamné en 1985 pour son rôle actif au sein du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), une organisation terroriste désignée comme telle par l’Union européenne, les États-Unis, le Canada et Israël.
    • En 2007, la cour suprême israélienne rejeta l’appel de Jabarin de se rendre à l’étranger affirmant que ce dernier est un « activiste du FPLP de haut rang…» qui agit « apparemment à la manière du docteur Jekyll et de Mister Hyde…se comportant comme le directeur d’une organisation humanitaire une partie du temps…et comme un activiste dans une organisation terroriste n’ayant pas renoncé au meurtre en d’autres temps…».
  • La FIDH est partenaires de plusieurs ONG ultra politisées œuvrant en Israël, en Cisjordanie et à Gaza. (Voir ci-dessous pour plus d’informations sur les membres de la FIDH).

Plaidoyer politique

Lawfare

  • La FIDH a multiplié les tentatives de soumettre des dossiers impliquant les accusations de « crimes de guerre » à l’encontre d’officiels israéliens à la Cour pénale internationale (CPI), notamment après le conflit à Gaza de 2009. L’ONG a par ailleurs rédigé une lettre au Président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas l’encourageant de ratifier le Statut de Rome.
  • Au mois de mars 2020, la FIDH a soumis un amicus brief à la CPI en soutien à la décision de la procureure Fatou Bensouda de lancer une enquête à l’encontre d’Israël pour des crimes de guerre présumés.
  • Au mois de septembre 2018, la FIDH a été signataire d’une lettre adressée à la CPI pour « ouvrir urgemment un enquête sur la situation en Palestine » étant donné que la « situation en Palestine se détériore rapidement et que des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité seraient fréquemment commis pour enraciner le contrôle israélien sur le territoire palestinien et le peuple palestinien ».
  • Au mois de mars 2015, la FIDH a soumis un rapport à la CPI intitulé « Prise au piège et punie : la population civile de Gaza lors de l’opération Bordure protectrice »qui « présente des éléments de preuve concernant la possible perpétration de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, commis par l’armée israélienne au cours de l’opération Bordure protectrice (juillet-août 2014) ». Ce rapport biaisé et factuellement inexact ne reconnaît pas les attaques à la roquette du Hamas visant des civils israéliens et présente le conflit de Gaza comme une offensive israélienne, au lieu d’une mesure d’autodéfense.
    • Citant cette publication, la FIDH a publié un communiqué condamnant la décision du Secrétaire Général de l’ONU Ban-Ki Moon de ne pas inclure Israël sur la liste des parties aux conflits armés qui se sont rendues responsables de violations graves à l’encontre des enfants.
  • En 2015, la FIDH a mené un travail de lobby au profit de l’Autorité palestinienne pour que celle-ci accède à la CPI.
  • Au cours du conflit de Gaza en 2014, la FIDH a écrit une lettre au Conseil de Sécurité de l’ONU portant les allégations que les « les opérations de l’armée israélienne constituent des crimes de guerre et, compte tenu du caractère massif et systématique du massacre de populations civiles, y compris d’enfants, de la destruction d’hôpitaux et d’écoles, ainsi que de zones entières au nord et au sud de la bande de Gaza, un complément d’enquête pourrait conclure que ces actions constituent des crimes contre l’humanité » .

BDS

Membres                 

La FIDH compte par ses membres de nombreuses organisations israéliennes et palestiniennes ultra politisées telles que Adalah, Al-Haq, Al-Mezan, Association for Civil Rights in Israel (ACRI), B’Tselem, Center for Constitutional Rights, Palestinian Center for Human Rights (PCHR), Public Committee Against Torture in Israel (PCATI) et Ramallah Center for Human Rights Studies (RCHRS).

Adalah

  • Adalah rejette la légitimité de l’État juif, essayant de le présenter comme intrinsèquement raciste et discriminatoire. Adalah fait régulièrement pression sur la Cour suprême israélienne et les organes internationaux pour qu’ils adoptent son agenda.

Al-Haq

Al-Mezan

  • Al-Mezan est très active dans les campagnes anti-israélienne de lawfare, exploitant les tribunaux et les organes juridiques internationaux pour demander des mandats d’arrêt contre des officiels du gouvernement israélien, intenter des poursuites contre des entreprises et des gouvernements faisant des affaires avec Israël et mener des campagnes de lobby pour des affaires contre des Israéliens devant la Cour pénale internationale (CPI).

B’Tselem

Palestinian Center for Human Rights (PCHR)

Public Committee Against Torture in Israel (PCATI)

  • PCATI diffuse régulièrement des allégations non vérifiables de torture israélienne, en les utilisant comme base de ses campagnes dans les forums internationaux et les tribunaux israéliens.
  • En 2013, PCATI a publié une déclaration intitulée « L’enfance n’est pas un privilège mais un droit! », alléguant à tort que les autorités israéliennes placent des « prisonniers palestiniens dans des cages en fer (y compris des enfants)» (mentions en gras ajoutée – publié à l’origine le 31 décembre 2013; révisé en janvier 8, 2014).

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