Fédération internationale pour les droits humains (FIDH)
Profile
Pays | France |
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Site web | https://www.fidh.org/ |
Année de fondation | 1922 |
Financements
- En 2019, la FIDH a rapporté un revenu total de 7.7 millions d’euros et 8.3 millions d’euros de dépenses.
- Parmi ses bailleurs de fonds figurent: L’Union européenne, La Finlande, la Suède, la Norvège, La France, les Pays-Bas, Le Danemark, L’Allemagne, l’Ireland, le Canada, La Suisse, Bread For the World (Allemagne), Rockefeller Brothers Fund, Sigrid Rausing Trust (Royaume Uni), la Fondation Ford et l’Open Society Foundation.
- En 2019, la FIDH a été partenaire de deux projets financés par l’UE d’une valeur totale de 18.3 millions d’euros. « The European Union human rights defenders mechanism » et « The EU emergency fund for human rights defenders at risk ».
- En 2020, l’Agence Française de Développement (AFD) a accordé 900.000 euros à la FIDH pour le projet «Droits Humains et Mondialisation». Au mois d’octobre 2019, l’AFD avait accordé 748.593 euros à la FIDH pour « Renforcer la protection des défenseur·e·s les plus vulnérables ».
- En 2018-2019, la FIDH a reçu 240.000 dollars de Rockefeller Brothers Fund pour son « travail en Afrique du Nord et au Moyen-Orient ».
- En 2017, la FIDH a reçu 400.000 dollars de la Fondation Ford.
Activités
- L’organisation siégeant à Paris est composée de 192 organisations membres à travers le monde. La FIDH facilite la coordination entre ses membres, soutient leurs activités et les mobilise pour différentes campagnes.
- La FIDH met en avant 3 piliers de son action: « la défense de la liberté d’action des défenseurs des droits humains, la défense de l’universalité des droits et la lutte pour l’effectivité des droits ».
- La FIDH est active dans le « lawfare » (harcèlement judiciaire), soutient les campagnes discriminatoires BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) et abuse de sa réputation d’organisation des droits de l’homme pour condamner Israël dans les différents forum internationaux.
- La FIDH accuse Israël de « punition collective », de « crime de guerre » et de « crimes contre l’humanité ».
- Au mois d’août 2016, Shawan Jabarin (directeur général de l’ONG palestienne Al-Haq) a été élu secrétaire général de la FIDH.
- Shawan Jabarin fut condamné en 1985 pour son rôle actif au sein du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), une organisation terroriste désignée comme telle par l’Union européenne, les États-Unis, le Canada et Israël.
- En 2007, la cour suprême israélienne rejeta l’appel de Jabarin de se rendre à l’étranger affirmant que ce dernier est un « activiste du FPLP de haut rang…» qui agit « apparemment à la manière du docteur Jekyll et de Mister Hyde…se comportant comme le directeur d’une organisation humanitaire une partie du temps…et comme un activiste dans une organisation terroriste n’ayant pas renoncé au meurtre en d’autres temps…».
- La FIDH est partenaires de plusieurs ONG ultra politisées œuvrant en Israël, en Cisjordanie et à Gaza. (Voir ci-dessous pour plus d’informations sur les membres de la FIDH).
Plaidoyer politique
- En 1997, la FIDH a créé « l’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme » aux côtés de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT) pour « offrir une assistance concrète et personnalisée via des missions internationales d’enquête, des missions d’observation et de soutien judiciaires, des missions de solidarité, et l’octroi d’une assistance matérielle aux défenseurs et aux organisations de défense ».
- Dans ce contexte, la FIDH a appelé Israël à lever l’interdiction de voyager imposée au directeur général d’Al Haq, Shawan Jabarin, qui aurait des liens avec l’organisation terroriste FPLP, et à faire campagne pour annuler l’ordre d’expulsion contre Omar Shakir de Human Rigths Watch, qui est un défenseur du BDS contre Israël.
- Au mois de décembre 2020, la FIDH a condamné la détention de Khitam Al-Saafin et a appelé l’Union européenne à « assurer la libération immédiate…de la défenseure palestinienne des droits humains ».
- Khitam Saafin est la présidente de l’Union of Palestinian Women’s Committees(UPWC), une ONG palestinienne identifiée par le Fatah comme « affiliée » au FPLP. L’USAID considère de son côté l’UPWC comme l’ « organisation des femmes » du FPLP.
- Au mois de novembre 2020, la FIDH a publié un communiqué de presse affirmant faussement que la définition opérationnelle de l’antisémitisme utilisée par l’IHRA « cherche à étouffer tout activisme ou expression publique sur la liberté et les droits des Palestiniens, et toute critique de la politique de l’État d’Israël ». Selon la FIDH, « ces différentes mesures constituent non seulement une attaque contre les droits des Palestiniens mais aussi contre toux [sic] ceux, organisations et défenseurs, qui militent aux États-Unis et partout dans le monde en solidarité avec les Palestiniens ».
- La définition opérationnelle de l’antisémitisme utilisée par l’IHRA (International Holocaust Remembrance Alliance) adoptée par près de 30 pays, représente la définition consensuelle internationale de l’antisémitisme, ainsi que la façon de faire la distinction entre la critique légitime d’Israël et l’antisémitisme. Un exemple de cette dernière consiste à nier au peuple juif son droit à l’autodétermination, par exemple en affirmant que l’existence d’un État d’Israël est une entreprise raciste.
- Au mois de juillet 2020, la FIDH a été signataire d’un appel urgent adressé aux Nations Unies faisant référence à la prétendue politique israélienne de « tirer pour tuer » comme « contribuant au maintien du régime d’apartheid israélien d’oppression raciale systématique et de domination sur le peuple palestinien dans son ensemble, ce qui, ancré dans un système d’impunité, empêche les Palestiniens de contester efficacement les politiques et pratiques d’apartheid d’Israël ».
- Au mois de mai 2019, la FIDH a été signataire d’un communiqué faisant référence à Jérusalem dans son ensemble comme « occupée », et a appelé l’ONU à « prendre fermement position contre… les mesures unilatérales illégales qui seraient prises par les États-Unis en faveur d’une tentative non voilée de légitimer l’entreprise de colonisation illégale par Israël, l’occupation et la colonisation ». Le communiqué appelait en outre à « Interdire les produits des colonies israéliennes » et à «Imposer des sanctions individuelles, y compris des interdictions de voyager et le gel des avoirs, aux personnes identifiées comme responsables ou complices de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité ».
- Au mois d’octobre 2018, la FIDH a salué et remercié tous les individus, organisations et institutions qui sont intervenus pour la libération de Salah Hamouri, un « camarade » du FPLP arrêté au mois d’août 2017. Antérieurement, Hamouri avait été condamné par Israël à 7 ans de prisons en 2008 en raison de son appartenance au FPLP. Jusqu’à son arrestation en 2017, Hamouri a travaillé pour l’ONG palestinienne Addameer, une organisation identifiée par le Fatah comme un « affiliée » officiel du FPLP.
- Au mois de mai 2018, la FIDH a signé un appel au Conseil des droits de l’homme des Nations unies pour qu’il lance une « enquête indépendante sur les violations du droit international des droits de l’homme et du droit humanitaire par Israël » en réponse aux violences à la frontière de Gaza. L’appel accuse Israël « d’un usage excessif, aveugle et disproportionné de la force léthale… [qui] pourrait constituer des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité » (mention en gras ajouté). L’appel a ignoré la nature violente des manifestations, qui comprenaient des cocktails Molotov, des incendies criminels et des tentatives de franchir la barrière frontalière avec Israël.
- Au mois de décembre 2017, à la suite de la reconnaissance par le président Trump de Jérusalem comme capitale d’Israël, la FIDH a publié un communiqué indiquant que « les États-Unis remettent un autre chèque en blanc à Israël et à son occupation et à la violation des droits fondamentaux des Palestiniens, notamment leur droit à l’autodétermination ».
- Au mois de juin 2017, afin de marquer le « 50e anniversaire de l’occupation militaire par Israël de la Palestine », la FIDH a été signataire d’un appel affirmant que « l’occupation militaire par Israël s’assimile à une colonisation et à un apartheid » et accusant Israël de « violations systématiques des droits de l’homme, dont un certain nombre relèvent des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité ».
- Au mois de novembre 2015, au milieu d’une vague de terrorisme contre des civils israéliens qui comprenait coups de couteau, fusillades et attentats à la voiture bélier, la FIDH et Al Haq ont écrit une lettre conjointe aux ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne, condamnant les réponses sécuritaires d’Israël et attirant l’attention sur « l’entreprise coloniale » d’Israël et les a appelés à « mettre un terme aux violations et à l’occupation incessantes d’Israël ».
- Au mois de décembre 2014, la FIDH a appelé les membres du parlement européen à voter en faveur de la reconnaissance de l’Etat palestinien.
- Au mois de juillet 2014, la FIDH a participé à la campagne orchestrée par des ONG au Conseil des droits de l’homme des Nations unies pour promouvoir l’établissement d’une commission d’enquête sur les crimes présumés commis par Israël durant le conflit de Gaza en 2014 («Goldstone II»).
- La FIDH a adopté une résolution à son 38e Congrès (2013) condamnant le Canada pour son « appui inconditionnel à l’État d’Israël ». La résolution a déclaré que le gouvernement du Canada « cautionne les violations de droits humains commises par Israël à l’endroit du peuple palestinien », y compris « l’occupation et la colonisation de la Palestine », le « Mur d’apartheid » et « le blocus de Gaza ». La résolution a affirmé également qu’Israël est un état d’apartheid et cite le rapport Goldstone discrédité.
Lawfare
- La FIDH a multiplié les tentatives de soumettre des dossiers impliquant les accusations de « crimes de guerre » à l’encontre d’officiels israéliens à la Cour pénale internationale (CPI), notamment après le conflit à Gaza de 2009. L’ONG a par ailleurs rédigé une lettre au Président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas l’encourageant de ratifier le Statut de Rome.
- Au mois de mars 2020, la FIDH a soumis un amicus brief à la CPI en soutien à la décision de la procureure Fatou Bensouda de lancer une enquête à l’encontre d’Israël pour des crimes de guerre présumés.
- Au mois de septembre 2018, la FIDH a été signataire d’une lettre adressée à la CPI pour « ouvrir urgemment un enquête sur la situation en Palestine » étant donné que la « situation en Palestine se détériore rapidement et que des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité seraient fréquemment commis pour enraciner le contrôle israélien sur le territoire palestinien et le peuple palestinien ».
- Au mois de mars 2015, la FIDH a soumis un rapport à la CPI intitulé « Prise au piège et punie : la population civile de Gaza lors de l’opération Bordure protectrice »qui « présente des éléments de preuve concernant la possible perpétration de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, commis par l’armée israélienne au cours de l’opération Bordure protectrice (juillet-août 2014) ». Ce rapport biaisé et factuellement inexact ne reconnaît pas les attaques à la roquette du Hamas visant des civils israéliens et présente le conflit de Gaza comme une offensive israélienne, au lieu d’une mesure d’autodéfense.
- Citant cette publication, la FIDH a publié un communiqué condamnant la décision du Secrétaire Général de l’ONU Ban-Ki Moon de ne pas inclure Israël sur la liste des parties aux conflits armés qui se sont rendues responsables de violations graves à l’encontre des enfants.
- En 2015, la FIDH a mené un travail de lobby au profit de l’Autorité palestinienne pour que celle-ci accède à la CPI.
- Au cours du conflit de Gaza en 2014, la FIDH a écrit une lettre au Conseil de Sécurité de l’ONU portant les allégations que les « les opérations de l’armée israélienne constituent des crimes de guerre et, compte tenu du caractère massif et systématique du massacre de populations civiles, y compris d’enfants, de la destruction d’hôpitaux et d’écoles, ainsi que de zones entières au nord et au sud de la bande de Gaza, un complément d’enquête pourrait conclure que ces actions constituent des crimes contre l’humanité » .
BDS
- La FIDH a déclaré son soutien pour « le droit de participer et à appeler au Boycott – Désinvestissement – Sanctions ». Selon la FIDH, « le mouvement BDS vise les politiques d’occupation illégale et de discrimination à l’encontre des Palestiniens menées depuis longtemps par le gouvernement d’Israël, notamment en soutenant l’occupation et en s’en rendant complice. Dans ces conditions, des personnes doivent avoir le droit de participer pacifiquement et d’appeler à des mesures BDS pour protester contre de telles politiques ».
- Avec la Plateforme des ONG Françaises pour la Palestine, la FIDH a été le fer de lance de la campagne de boycott « Made in Illegality » à l’encontre des implantations israéliennes. Initiée en Belgique, cette campagne appelle à « Interdire l’importation des produits des colonies ; Exclure les colonies des accords bilatéraux et de coopération avec Israël ; Dissuader les entreprises belges et françaises d’investir et d’entretenir des relations commerciales avec les colonies israéliennes ». Cette campagne présente des affirmations factuellement fausses et déforme les narratifs juridiques afin d‘accuser Israël de violations des droits de l’homme. Elle fait valoir à tort que faire des affaires avec Israël revient à promouvoir ces violations présumées. (Mention en gras d‘origine).
- Au mois de juillet 2020, la FIDH a exhorté la communauté internationale de « mettre au point et adopter des sanctions économiques et d’autres mesures » jusqu‘à ce qu‘Israël cesse « de poursuivre ses efforts en vue de l’annexion illégale des territoires palestiniens occupés ». (Mention en gras d‘origine).
- Au mois de juin 2020, la FIDH a été signataire d‘une tribune appelant la France à « reconnaître l’Etat de Palestine », ainsi que « de se mettre en conformité avec l’obligation de ne pas contribuer au développement des colonies israéliennes, et donc d’exclure du marché français les produits issus des colonies, exclure les colonies du champ d’application des traités bilatéraux et dissuader activement les entreprises d’avoir des relations commerciales et d’investissement avec les colonies ».
- Durant les années 2018-2019, la FIDH a mené une campagne de Lobby intensive soutenant la base de données discriminatoire de l‘ONU qui liste les compagnies opérant au-delà de la ligne d’Armistice de 1948 et ayant pour but de renforcer les campagnes BDS contre Israël. Selon la FIDH, « l’absence de responsabilité a permis à la puissance occupante, Israël, de se livrer à des activités contraires au droit international dans le territoire occupé en toute impunité. Cela a permis à de nombreux acteurs privés, y compris les entreprises, de contribuer et de tirer profit, parfois à leur insu, de violations flagrantes des droits de l’homme ».
- Au mois de juin 2018, la FIDH, aux côtés de l’Association France Palestine Solidarité (AFPS), la Ligue des droits de l‘Homme (LdH), Al-Haq et de plusieurs syndicats français, a été signataire du rapport « Tramway de Jérusalem : des entreprises françaises contribuent à la colonisation israélienne du territoire palestinien occupé » (13 juin 2018), qui cible les entreprises françaises Systra, Egis et Alstom pour leur participation à la construction du tramway de Jérusalem. Ce rapport demande entre autres à « l’État français de prendre toutes les mesures pour que les 3 opérateurs publics, SNCF, RATP et CDC, mettent fin aux contrats signés dans le cadre de la mise en œuvre du tramway de Jérusalem, par les sociétés qu’ils contrôlent, Systra et Egis, de prendre toute mesure pour prévenir toute participation ou investissement d’entreprises françaises qui contribuerait à la colonisation israélienne ».
- Suite à ce rapport, PFP a publié le communiqué (22 juin 2018) « Tramway de Jérusalem : premier désengagement d’une entreprise française » indiquant l’annonce du patron de la SNCF que « Systra se retire de la ligne rouge et pourpre du tramway de Jérusalem ».
- Au mois de mai 2019, après qu‘Alstom se soit retiré du projet, la FIDH a publié un communiqué indiquant qu‘« il est indispensable que le gouvernement français et l’ensemble des gouvernements européens prennent clairement position contre toute implication des entreprises dans le déni du droit que constitue la politique israélienne d’annexion, de colonisation et d’occupation ».
- Au mois de mars 2017, la FIDH, aux côtés de l‘AFPS, la LdH, Al-Haq,CCFD-Terre Solidaire et d’autres organisations françaises, a été signataire d’un rapport intitulé « Les liaisons dangereuses des banques françaises avec la colonisation israélienne ». Ce rapport appelle le gouvernement français à faire pression sur les banques et compagnies d’assurance françaises afin que celles-ci « se désengagent sans délai de tout lien financier avec le système bancaire israélien » et à créer une « proposition législative prohibant aux entreprises de tous les secteurs d’investir dans les colonies ». Ce rapport financé en partie par le gouvernement suédois, au travers de l’Agence suédoise de coopération internationale au développement (SIDA), ne souligne que de mineures et indirectes connexions aux implantations et les tribunaux français ont constaté à maintes reprises que ces activités commerciales n’étaient pas illégales (voir le rapport de NGO Monitor: « Des fonds publics français et suédois utilisés pour cibler des banques israéliennes »).
- Au mois de novembre 2015, la FIDH a accueilli favorablement la décision de la Commission Européenne d’étiqueter les produits des implantations israéliennes mais a également appelé l’UE à « prendre des mesures immédiates et appropriées pour mettre fin à l’importation des produits des colonies sur le marché de l’Union Européenne, et de dissuader les entreprises d’investir, de maintenir et de profiter des relations économiques existant avec les colonies d’Israël ».
- Le 6 mai 2015, la FIDH, aux côtés de l‘AFPS, la LdH, Al-Haq,CCFD-Terre Solidaire et d’autres organisations françaises, a publié un document intitulé « Les liaisons dangereuses d’Orange dans le Territoire Palestinien Occupé », appelant au boycott du réseau de télécommunication israélien Partner Communications (lequel opérait alors sous la marque Orange). Les ONG avaient ciblé la société française Orange ainsi que le « gouvernement français en qualité de principal actionnaire minoritaire d’Orange ». Cette publication s’était alors accompagnée par des actions de lobbying intensives auprès du gouvernement français, la compagnie Orange, et l’autorité palestinienne.
Membres
La FIDH compte par ses membres de nombreuses organisations israéliennes et palestiniennes ultra politisées telles que Adalah, Al-Haq, Al-Mezan, Association for Civil Rights in Israel (ACRI), B’Tselem, Center for Constitutional Rights, Palestinian Center for Human Rights (PCHR), Public Committee Against Torture in Israel (PCATI) et Ramallah Center for Human Rights Studies (RCHRS).
- Adalah rejette la légitimité de l’État juif, essayant de le présenter comme intrinsèquement raciste et discriminatoire. Adalah fait régulièrement pression sur la Cour suprême israélienne et les organes internationaux pour qu’ils adoptent son agenda.
- Al-Haq est un fer de lance des campagnes de BDS et de lawfare. Son directeur général, Shawan Jabarin, serait lié au groupe terroriste du FPLP.
- Al-Haq a proposé de saboter le système judiciaire israélien en « inondant la Cour [suprême israélienne] de recours dans l’espoir d’entraver son fonctionnement et ses ressources ». Au mois d’octobre 2013, Al-Haq et Palestinian Center for Human Rights (PCHR) ont tenu une réunion avec le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) pour présenter un avis juridique accusant Israël de « perpétration généralisée et systématique de crimes internationaux et de violations de la loi internationale ».
- Al-Mezan est très active dans les campagnes anti-israélienne de lawfare, exploitant les tribunaux et les organes juridiques internationaux pour demander des mandats d’arrêt contre des officiels du gouvernement israélien, intenter des poursuites contre des entreprises et des gouvernements faisant des affaires avec Israël et mener des campagnes de lobby pour des affaires contre des Israéliens devant la Cour pénale internationale (CPI).
- B’Tselem poursuit activement son agenda politique devant les tribunaux israéliens et la Knesset.
- B’Tselem accuse Israël d ‘« apartheid », de perpétrer des « crimes de guerre », de « battre et abuser » de Palestiniens, de « démolir des maisons [palestiniennes] comme punition » et de « déportations » forcées.
- En 2018 et 2016, le directeur de B’Tselem a comparu devant une session extraordinaire du Conseil de sécurité des Nations Unies, demandant explicitement à l’ONU de prendre « une action internationale décisive » contre Israël.
Palestinian Center for Human Rights (PCHR)
- PCHR décrit la politique d’Israël comme un « apartheid » et accuse Israël de « nettoyage ethnique », de « crimes de guerre » et de « judaïsation de Jérusalem », tout en déformant ou en niant régulièrement le contexte du terrorisme contre les civils israéliens.
- Dans une interview, le directeur de PCHR Raji Sourani a admis qu’il avait purgé « une peine de trois ans [1979-1982] imposée par un tribunal israélien qui l’a reconnu coupable d’appartenance au Front populaire illégal pour la libération de la Palestine…». Il s’est également vu refuser un visa d’entrée aux États-Unis en 2012.
- En février 2014, le FPLP a organisé une cérémonie à Gaza en l’honneur de Sourani pour avoir remporté le «prix Alternative Noble (sic)».
Public Committee Against Torture in Israel (PCATI)
- PCATI diffuse régulièrement des allégations non vérifiables de torture israélienne, en les utilisant comme base de ses campagnes dans les forums internationaux et les tribunaux israéliens.
- En 2013, PCATI a publié une déclaration intitulée « L’enfance n’est pas un privilège mais un droit! », alléguant à tort que les autorités israéliennes placent des « prisonniers palestiniens dans des cages en fer (y compris des enfants)» (mentions en gras ajoutée – publié à l’origine le 31 décembre 2013; révisé en janvier 8, 2014).
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